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'Sabella D10'

Tête de série industrielle en 2012

Le projet « Sabella D10 » résulte de l’expérimentation de « D03 », et vise à concevoir et à réaliser sur les mêmes principes technologiques une tête de série pré industrielle de 10 m de diamètre, et d’une puissance allant de 200 à 500 kW selon la cinétique du site.
Ce projet bénéficie des acquis capitalisés et des voies de progrès identifiées dans l’interprétation des résultats de « D03 ».
Une ingénierie poussée de l’hydrodynamique du rotor et de la chaine de production électrique permettra d’atteindre les performances projetées pour cette machine.
« Sabella D10 » sera raccordée au réseau, fera l’objet d’essais sur site et de caractérisation du signal électrique livré.

EDITO

SABELLA: un acteur hydrolien en marche.

Après quelques péripéties à boucler ses financements dans un contexte financier planétaire quelque peu nuageux, SABELLA escompte bien désormais faire valoir ses atouts concurrentiels sans plus tarder.


Persuadée plus que jamais que la pertinence de ses fondamentaux rendront sa technologie référente, elle constate chez les majors du jour: des fortunes de mer et des incapacités à appréhender les réelles contraintes sous marines, des impasses technologiques ou d'acceptation, des retours d'expérience inexistants, des survaleurs d'acquisition pénalisantes, des sophistications et complexités fragilisante, quant il faut faire preuve de simplicité, pour ne pas dire "rusticité technologique".

 

Fort de ces constats, SABELLA rejoint avec l'immersion courant 2012 de sa machine "D10" – 500kW, le gotta de l'hydrolien. Mais son avantage concurrentiel réside primordialement dans sa compétitivité économique à l'aune de l'ouverture des marchés hydroliens.

En veille sur ces technologies depuis quelques années, le monde des énergéticiens est désormais motivé à expérimenter aujourd'hui des premières fermes hydroliennes et à caractériser leur intérêt énergétique, et ce avant de développer des schémas d'aménagement de gisements hydrocinétiques d'ampleur. Ces investissements dans ces énergies alternatives marines seront arbitrés au regard de leur rentabilité comparée entre elles. A l'instar du marché précurseur d'Outre Manche, où la démonstration de premières machines préindustrielles est un pré requis, le seul critère de jugement des technologies est désormais le coût du kWh livré sur le réseau. Le coût de production est devenu le leitmotiv tant des développeurs que des pouvoirs publics. L'assise d'une filière industrielle passe avant tout par sa compétitivité, garantissant sa pérennité sur un échiquier international

 

Certes l'industrielle hydrolienne n'est aujourd'hui ni en place, ni mature, mais néanmoins la qualification des technologies est d'ores et déjà arbitrée bien moins sur la performance – la physique étant la même pour tous, les performances de production sont très proches entre les solutions - que sur les CAPEX.

 

La recherche affirmée d'une complexité technologique "juste nécessaire" confère à SABELLA une offre à CAPEX attractive pour les exploitants énergéticiens. Induites par ce credo de simplicité, la fiabilité et la robustesse de sa solution permettent d'anticiper là aussi des OPEX minimisée (maintenance) et des durées de production maximisée.

 

SABELLA: un positionnement résolument "cost efficient".

 

 

 

 









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